Les fleurs et les arbres, les vents et les mers, En mi-voix se courbent et se voudraient pleurer. Le suave parfum des lilas éphémères, Au cœur de la brise, d’un frisson léger.
O ciel qui s’incline et que l’ombre éclaire, Dans tes voiles blanches, emporte-moi ! Je veux goûter cette vie de lumière Qui m’invite à vivre en toi, au-delà !
- Théodore de Banville